eJournals Vox Romanica 60/1

Vox Romanica
vox
0042-899X
2941-0916
Francke Verlag Tübingen
Es handelt sich um einen Open-Access-Artikel, der unter den Bedingungen der Lizenz CC by 4.0 veröffentlicht wurde.http://creativecommons.org/licenses/by/4.0/121
2001
601 Kristol De Stefani

Armin Schwegler/Bernard Tranel/Myriam Uribe-Etxebarria (ed.), Romance Linguistics. Theoretical Perspectives. Selected Papers from the 27th Linguistic Symposium on Romance Languages (LSRL xxvii) (Irvine, 20-22 February 1997), Amsterdam/Philadelphia (Benjamins) 1998, v + 349 p. (Amsterdam Studies in the Theory and History of Linguistic Science. Series iv: Current Issues in Linguistic Theory 160)

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2001
Simone  Roggenbuck
vox6010240
Armin Schwegler/ Bernard Tranel/ Myriam Uribe-Etxebarria (ed.), Romance Linguistics. Theoretical Perspectives. Selected Papers from the 27 th Linguistic Symposium on Romance Languages (LSRL xxvii) (Irvine, 20-22 February 1997), Amsterdam/ Philadelphia (Benjamins) 1998, v + 349 p. (Amsterdam Studies in the Theory and History of Linguistic Science. Series iv: Current Issues in Linguistic Theory 160) Trotz seines umfassend klingenden Titels beinhaltet der von Armin Schwegler, Bernard Tranel und Myriam Uribe-Etxebarria herausgegebene Kongreßband des LSRL-Symposiums in Irvine ausschließlich Themen der synchronen Syntax. Dem LRSL-Charakter entsprechend stammen die Beiträge überwiegend aus der amerikanischen Romanistik. Ausnahmen bilden Michele Loporcaro/ Zürich, Brigitte Kampers-Manhe/ Groningen, Petra Sleeman und Els Verheugd/ Amsterdam, Thierry Etchegoyhen und George Tsouas/ Genf und York, die mit Beiträgen zum Französischen und Italienischen zur Ausbalancierung des in der amerikanischen Linguistik verständlichen Vorranges des Spanischen beitragen. Das Hauptaugenmerk des Bandes gilt eindeutig der Syntax des modernen Spanisch. Mit ihr befaßt sich die Hälfte der Beiträge, je nach Beitrag mit verschieden starker vergleichender Anbindung an das Englische: Eric Bakovic, «Spanish Codas and Overapplication» (13-23); Elena E. Benedicto, «Verb Movement and its Effects on Determinerless Plural Subjects» (25-40); Ricardo Echepare, «On the Structure of Declarative Clauses» (53-66); Manuel Español-Echevarria, «N/ A of a N DP’s: Predicate raising and subject licensing» (67-80); John Grinstead, «Negation and Independent Morphological Development» (97- 110); James Harris, «Enclitic -n in Spanish» (111-27); Enrique Mallen, «Condition on Feature Specification and Negative Lexicalization» (171-81); Carmen Silva-Corvolán, «On Borrowing as a Mechanism of Syntactic Change» (225-46); Luis Silva-Villar, «Subject Positions and the Roles of CP» (247-70), hier werden auch das Französische und das Portugiesische sowie nicht-romanische Sprachen miteinbezogen; Juan Uriagereka, «From Being to Having: Questions about ontology from a Kayne/ Szabolcsi syntax» (283-306); Robert E. Vann, «Pragmatic Transfer from Less Developed to More Developed Systems: Spanish deictic terms in Barcelona» (307-17). Mit moderner französischer Syntax befassen sich: Thierry Etchegoyhen/ George Tsoulas, «Thetic and Categorical, Attributive and Referential: Towards an explanation of definiteness effects» (81-95); Brigitte Kampers-Manhe, «Je veux que parte Paul: A neglected construction» (129-41); Jean-Pierre Montreuil, «Vestigial Trochees in Oïl Dialects» (183-95); Petra Sleeman/ Els Verheugd, «Licensing DP-Internal predication» (271-82). Zwei weitere Beiträge sind dem Altfranzösischen gewidmet: Deborah Arteaga, «On Null Objects in Old French» (1-11); Laurie Zaring, «Object Shift in Old French» (319-332) - dies sind die einzigen Beiträge, die sich nicht mit modernen Sprachzuständen befassen. Themen der Syntax des Italienischen werden vertreten von: Gerhard Brugger, «Expletive Auxiliaries» (41-51); Michele Loporcaro, «Syllable Structure and Sonority Sequencing: Evidence from Emilian» (155-70); Jeannette Schaeffer, «On Object-Clitic Placement in Italian Child Language» (213-24). Das Portugiesische kommt mit Eduardo Raposo, «Definite/ Zero Alternations in Portuguese: Towards a unification of topic constructions» (197-212) zum Zuge, das Rumänische mit Paula Kempchinsky, «Mood Phrase, Case Checking and Obviation» (143-54). Da die Beiträge nicht nach Sprachen geordnet, sondern in alphabetical order nach Autorennamen erscheinen, haben die Herausgeber dankenswerter Weise einen «Language Index» (337-39) erstellt, der auch die verschiedenen Subvarietäten der einzelnen Sprachen berücksichtigt. Ebenfalls lobenswert ist der bei Kongreßakten leider immer noch nicht selbstverständliche «Author Index» (333-36) und insbesondere der sehr detaillierte «Subject 240 Besprechungen - Comptes rendus Index» (340-49) von accentual licensing constraint (ALC) bis zero complementizer, durch den dem suchenden Leser beitragsübergreifend ein schneller Zugriff gewährleistet wird. Simone Roggenbuck ★ Frede Jensen, A Comparative Study of Romance, New York etc. (Lang) 1999, xxvi + 446 p. (Studies in the Humanities 46) 1. Connu surtout pour ses études sur la morphologie ou la syntaxe de l’espagnol, du galloroman et de l’italien, l’auteur se présente ici dans une étude globale des parlers romans et consacrée (ce que le titre n’annonce pas) à la phonétique historique. L’ouvrage se divise en deux parties. La première, Problems, Methods and Early History (1-57), est une introduction assez substantielle, dont le but est d’initier le lecteur aux méthodes et objectifs de la discipline. On y aborde (3-26) la distribution spatiale et l’histoire externe des parlers romans, ainsi que leur classement (par exemple celui du catalan, 12-17), les notions de «latin», «roman», «Romania» et «latin vulgaire», le processus de romanisation, les substrats et superstrats, et le passage de l’unité à la diversité diatopique du roman. Les plus anciens textes romans sont brièvement cités et décrits (26-30), et les études romanes évoquées (30-45). Cette première partie se termine (45-57) par quelques pages de théorie relative à l’analogie, à l’opposition entre mots populaires et mots savants, aux emprunts, à l’étymologie et à la sémantique. La seconde partie, Phonology (59-314), s’ouvre (61-68) par une brève introduction à la phonologie latine (systèmes vocaliques, syllabe, accent, consonnes) et à la différence entre changements spontanés et conditionnés. Pour le reste (69-314), elle est constituée par le corpus des lois phonétiques, dans un classement traditionnel très détaillé. Chaque règle est illustrée de quelques mots latins et de leurs dérivés en portugais, espagnol, catalan, occitan, français ancien et moderne, italien et roumain; puis elle est commentée, soit dans une perspective panromane, compte tenu d’éventuelles attestations en latin écrit, soit dans celle de parlers romans ou d’exemples spécifiques, avec un recours éventuel aux données dialectales et aux particularités graphiques. Il ne s’agit pas, pour l’auteur, de relier simplement un étymon à ses dérivés, mais plutôt, en s’inspirant de tendances récentes, de situer l’évolution du mot dans le cadre linguistique et extralinguistique qui en rend compte. Visiblement marqué par le structuralisme, l’auteur s’attache aussi à mettre en évidence les relations synchroniques entre lois phonétiques, comme le parallélisme de l’évolution de caet ga- (169). Il ne craint pas d’aborder et de soumettre à un examen critique de nombreux problèmes épineux, par exemple le passage de vicem au fr. fois (154s.). Le livre se termine par une bibliographie sélective d’ouvrages généraux (315-32), que complètent du reste des renvois bibliographiques ponctuels dans le texte, et par un index des mots cités (333-46). 2. Bien que l’auteur ne le dise pas expressément ou le suggère tout au plus en parlant d’«initiation» (xv), l’ouvrage ne s’adresse pas en premier lieu aux spécialistes, mais à l’étudiant. Cette impression est renforcée par le fait que, contrairement à la pratique dans des ouvrages similaires, deux parlers romans, le sarde et le réto-roman, sans être entièrement ignorés dans les commentaires, ne sont pourtant pas pris systématiquement en considération, ce qui laisse parfois le lecteur sur sa faim. 3.1. Dans les limites que je viens de tracer, l’ouvrage acquiert néanmoins sa valeur propre, qui n’est pas mince: l’auteur y met en œuvre une documentation abondante et variée, développe en termes clairs l’essentiel des problèmes théoriques et d’interprétation et 241 Besprechungen - Comptes rendus